primeur
Domaine de la Sorbière (Jacques Juillard), Terre de roche, 2023 (Vin de France/Beaujolais)
#Retour en cave #Sans sulfite
Blanc de macération vinifié à 4 mains ; celles de Jacques Juillard, le vieux brisquard de Saint-Lager, et de Cyrille Alonso, l’expert ès-vinif sans sulfite de l’autre. Le résultat ? Un étonnant chardonnay orange. A l’aveugle, ce vin hybride pourrait se rapprocher d’un vin blanc légèrement oxydatif du Jura. Il dévoile des notes d’amande, de pomelo, de fruits secs, de cire d’abeille. Ses amers sont dans les clous, juste pour l’équilibre. Un vin orange qui séduira les novices comme les fins limiers à la recherche de macération courte. Difficile à classer… mais pas à boire.
#Retour en cave #Sans sulfite
Blanc de macération vinifié à 4 mains ; celles de Jacques Juillard, le vieux brisquard de Saint-Lager, et de Cyrille Alonso, l’expert ès-vinif sans sulfite de l’autre. Le résultat ? Un étonnant chardonnay orange. A l’aveugle, ce vin hybride pourrait se rapprocher d’un vin blanc légèrement oxydatif du Jura. Il dévoile des notes d’amande, de pomelo, de fruits secs, de cire d’abeille. Ses amers sont dans les clous, juste pour l’équilibre. Un vin orange qui séduira les novices comme les fins limiers à la recherche de macération courte. Difficile à classer… mais pas à boire.
Christophe Pacalet, Beaujolais, 2023
#Nouveau millésime
Fin, ciselé, croquant, frais, gorgé de fruit, et déjà étonnamment ample pour un millésime 23… Pas étonnant de le retrouver à la carte d’autant de tables étoilées partout dans le monde ! Un must absolu pour les fines gueules que nous sommes, qui confirme si besoin était le talent hors du commun de cet artiste-vinificateur (formé en son temps – rappelons-le – par un certain Marcel Lapierre, son tonton).
#Nouveau millésime
Fin, ciselé, croquant, frais, gorgé de fruit, et déjà étonnamment ample pour un millésime 23… Pas étonnant de le retrouver à la carte d’autant de tables étoilées partout dans le monde ! Un must absolu pour les fines gueules que nous sommes, qui confirme si besoin était le talent hors du commun de cet artiste-vinificateur (formé en son temps – rappelons-le – par un certain Marcel Lapierre, son tonton).